Dans le département du Sud la ville de Camp-Perrin figure parmi les plus touchées par le tremblement de terre du 14 août 2021. Presque la totalité des maisons sont détruites. Locataires et propriétaires se retrouvent désormais dans les rues à attendre l’aide substencielle qui tarde à venir ou arrive en comptes-gouttes.

L’image réelle de plusieurs dizaines de personnes dont des enfants filant à toute allure derrière un convoi humanitaire qui tente de ne pas laisser rattraper donne une idée de l’ampleur de l’urgence des les sections communales de Masline et de Piko à Camp-Perrin. Lourdement frappées par le tremblement de terre du 14 août presque tous les grands batiments n’ont résister parmi eux celui d’un d’une importante pretresse vodou où 26 cadavres ont été retrouvés. A piko, le pasteur Calixte Dorval affirme avoir enregistré près d’une vingtaine de morts parmi les membres de son assemblée. Plusieurs autres souffre d’une infirmité quelconque, indique le leaders évangélique qui critique le mode d’emploi utilisé par les autorités pour distribuer l’aide aux victimes. « J’aime pas la façon dont les autorités distribuent l’aide humanitaire. Leurs techniques est loin de pouvoir touchées les vrais victimes. Il faut passer par les pasteurs qui savent discipliner leur démarches afin que l’aide puisse être directement acheminée vers les familles nécessiteuses. », a déclaré le pasteur Calixte Dorval responsable de la Mission Évangélique de l’Église Baptiste du Sud.

« J’ai une famille de 13 enfants dont certains ont été transportés dans un centre hospitalier aux Cayes et d’autres à Port-au-Prince. Nous avons tout perdu. Notre maison en béton s’est effondrée et maintenant je vis dans la rue sans vêtement, sans de quoi me protéger contre les intempéries », se plaint Marita Deltamise qui habite à Pico, deuxième section de la commune de Camp-Perrin.

La situation n’est pas différete pour le pasteur Calixte Dorval dont l’église est fortement endommagée. La cours est transformée en abris provisoire où les fidèles et des habitants dans les parages viennent se réfugier espérant par la meme occasion trouvé de quoi manger, se vêtir et lister parmi ceux et celles qui nécessitent la reconstruction de leur maison.

Le long de la route menant vers la Grand-Anse, on constate des groupuscules de gens massés à l’affut de convois d’humanitaire. Au moindre arrêt, si ces derniers ne sont protégés par les forces de l’ordre, ils se font piller automatiquement à certains endroits. Ce qui handicap le processus et empêche aux vrais victimes d’en bénéficier.
Jeannot Antoine

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2 thoughts on “Haïti/Urgence humanitaire: SOS pour les sections Pico et Masseline, à Camp-Perrin”
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